Portrait aujourd’hui de Denis Rédureau, vice-président de l’APMAC.

« J’ai 63 ans, et suis retraité de la Fonction Publique Hospitalière.

Je me suis beaucoup investi dans l’animation de ma commune, d’abord au sein du Comité des Fêtes, puis comme élu municipal. Adhérer à l’APMAC a été une évidence quand il s’est agi d’organiser des spectacles vivants. À notre petite échelle, nous avons proposé aux habitants et au public rural des alentours, des concerts, du classique au rock, en passant par le jazz, le gospel, le folklore et le blues, du théâtre, tant en salle qu’en plein air, des spectacles pour les enfants de l’école, des arts de la rue, avec mise en lumière du patrimoine bâti, etc. Soutenus par la Saintonge Romane, le Département ou la Région, nous nous sommes éclatés dans l’organisation de ces manifestations, que nous voulions qualitatives et pour lesquelles l’appui technique et les conseils de l’APMAC se sont révélés primordiaux. Et comme il fallait avoir quelques bases pour assurer l’installation et la mise en œuvre du matériel loué, j’ai suivi quelques heures de formation pour bénévoles.
Mon expérience d’élu m’a permis de côtoyer diverses structures, commissions et groupes de travail. J’y ai souvent ressenti, comme une réalité difficile à surmonter, que le portage de l’organisation d’un évènement culturel pouvait être assimilé à la composition d’un puzzle, dont toutes les pièces, y compris le volet technique, étaient indispensables.

Il m’est toujours apparu comme évident de m’intéresser au fonctionnement intrinsèque des associations auxquelles j’ai adhéré, d’assister aux Assemblées Générales, et de proposer mon aide. Aussi, sollicité par le directeur de l’époque, j’ai intégré le Conseil d’Administration, et ai participé, à ma petite échelle, au développement de l’APMAC depuis plusieurs années maintenant.

Je partage aujourd’hui mon temps libre entre plusieurs associations, tant dans la préservation de l’environnement que dans la promotion de la culture vivante, et je suis administrateur de la compagnie Coyote Minute.

Lorsque notre Présidente a souhaité s’alléger d’une part de sa tâche et m’a sollicité pour l’aider en postulant pour la place de vice-président, c’est avec plaisir que j’ai accepté de m’engager d’un degré supplémentaire pour notre structure, et au sein de laquelle le travail partagé est très enrichissant. Lors du travail pour la rédaction du Projet Associatif 2022-2026, je me suis plus particulièrement engagé sur le volet ’’Engagement Responsable’’, afin de mettre en avant les qualités sociales et environnementales des pratiques de l’APMAC, en essayant de les améliorer dans une optique toujours plus vertueuse. »